Le week-end des 16, 17 et 18 juin, tous les plateaux du Trophée Tourisme Endurance se sont retrouvés sur l’iconique circuit Paul Ricard pour 3 jours de compétition intense. Pour l’occasion, quelque 140 voitures s’étaient donné rendez-vous sous le soleil du Sud de la France. Le meeting du Castellet marque le passage de la mi-saison pour le TTE, puisqu’il s’agissait de la quatrième manche d’une année qui en compte huit. Pour autant, certaines tendances se dessinent mais il reste très difficile de prédire l’issue des huit championnats présents. Retour sur une épreuve remplie de rebondissements.

TTE Pirelli Series : Une Ginetta au pays des Ligier

Les protagonistes de la saison commencent à se détacher en TTE Pirelli Series, et les participants du Trophée JS2 R ne sont pas prêts à lâcher du terrain aux voitures plus puissantes. Forts d’une première victoire au Val de Vienne et d’une récente participation en Ligier European Series avec leur pilote Marc Bonnet, l’équipe Extrême Limite notamment arrivait au Castellet avec une motivation renouvelée qu’ils étaient prêts à concrétiser sur la piste.

En qualifications, Benoît Bailly et Guillaume Rousseau mettent pourtant la pression sur leurs adversaires en réalisant une pole position sans équivoque sur la Ginetta #503 du team STR. En effet, une seconde et demi les sépare de leurs plus proches poursuivants : la Lotus #37 Acqua Rossa emmenée par Xavier Georges, Jean-Baptiste et Philippe Loup. La troisième place s’est jouée à deux centièmes de secondes, mais c’est la #64 de Benjamin Redais et Marc Bonnet qui l’emporte sur la #99 Of Course de Manu Roeckel-Zimpfer, Nicolas Neis et Luc Remmy pour la tête des Ligier. En catégorie T2, c’est l’équipage Vintage Motorsport composé de Michaël Desmaele et Amado Ulric – qui nous faisaient le plaisir d’être présents avec leur Porsche 996 #16 – qui est allé chercher le meilleur temps.

Les renversements de situation peuvent arriver à tout moment en sports mécaniques, et le rappel de cette réalité fut douloureux pour l’équipe Acqua Rossa. Alors qu’ils se plaçaient en première ligne, une panne électronique dans le tour de mise en grille les contraint à l’abandon avant même de prendre le départ. Bien que désolés pour eux, le reste du plateau n’a pas hésité longtemps à tirer avantage de la situation : les Ligier en ont profité pour fondre sur la #503 dès le départ, et ne lui laisser aucun espace pour respirer.

S’en est suivi une lutte sans répit entre entre la #503 et la #64 pour la première place. Alors que l’équipage Extrême Limite avait réussi à prendre le dessus sur celui du STR, un problème technique sur la Ligier aux environs de la mi-course remet tout en cause et ménage un suspens qui durera jusque dans les derniers tours des 4 heures d’endurance. Alors que les deux voitures échangent sans cesse de positions au fil des arrêts, ce sont finalement bien Marc Bonnet et Benjamin Redais qui l’emportent au moment de prendre le drapeau à damier pour une arrivée nocturne. Guillaume Rousseau et Benoît Bailly font tout de même une très belle deuxième place au général, et remportent la catégorie T4. Le podium Scratch est complété par Christophe Feret, Jean Laget et Fabien Greffrath sur la Ligier JS2 R #666 du TM Evolution. Troisièmes des JS2 R, l’équipe Of Course réalise une belle performance pour se placer à la quatrième place au classement général.

En catégorie T2, Pascal Delcroix, Evann Mallet et Philippe Burel font une belle remontée après des problèmes techniques en qualifications, et s’offrent la victoire avec la Seat Cupra #98 ! Ils sont rejoints sur le podium par l’équipage de la #16, ainsi que Marc Girard et Thierry Chkondali sur la Golf #36 du 700 Miles by W-Autosport.

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TTE Pirelli Light : Débuts en fanfare

Pour sa manche inaugurale, le TTE Pirelli Light a déjà offert une belle variété sur la grille de départ : de la Clio IV à la Lamborghini Huracan, en passant par l’Aston Martin GT8R ou encore la Twingo 2 préparée de Sébastien Arbeltier et Rémi Clément, cette formule prouve sa volonté d’ouvrir les portes de l’endurance à un maximum de voitures et de pilotes.

Pour cette première course du championnat, la majorité des concurrents avaient choisi de disputer l’épreuve à deux pilotes. Mais c’est Alfredo Hernandez, unique participant à rouler seul, qui l’a emporté après avoir dominé l’heure de course. Il prouve ainsi que la Lamborghini #177 était capable d’allier vitesse et résistance dans le temps.

Le podium est complété par l’Aston Martin #7 de Vincent Bialostotski et Frank Diversay, et la Clio #100 d’Olivier Sirdey et Philippe Godefroy. Malheureusement, la seconde voiture engagée par NJ Motors – la 206 RCC de Luc Minassian et Thibaud Carrai – n’a pas pu se battre pour les premières places du classement, puisqu’elle finit la course sur un abandon dans le septième tour.

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Free Endurance : Victoire d’équipe pour le Nomad Racing Event

Il est facile de l’oublier, mais la course automobile est bel et bien un sport d’équipe – et c’est peut-être encore plus vrai pour la course d’endurance. Bien que les pilotes aient fait un travail remarquable, la victoire de cette course de Free Endurance restera en mémoire comme celle des mécaniciens du Nomad Racing Event. Ces derniers ont, contre tout pronostic, remis une voiture très accidentée en suffisamment bon état pour non seulement prendre le départ de la course alors que rien n’était moins sûr, mais même la remporter !

En qualifications, ce sont François Buisson et Jean-François Germain qui avaient fait le meilleur temps pour leur toute première participation au championnat, avec la Mitjet #121. Une avance de quelques dixièmes les séparaient de Romain Delage, Denis Andrès et Xavier Goutarel sur la #63 du Nomad Racing Event, première des Clio. Du côté du Challenge Peugeot, c’est la 208 #68 qui est placée en haut de la feuille des temps par Christophe Gillette et Benoit Hermann pour DH Sport.

Parti sixième sur la grille, Julien Gedet fait un très bon départ lui permettant de se battre dans le top 3. Mais un problème moteur le contraint, ainsi que ses coéquipiers Arnaud Gobe et Tanguy Bongiovanni, à abandonner après seulement 4 tours parcourus. La #121 pourtant partie en pole perd également sa position suite à un problème nécessitant un dépannage durant la course, alors qu’elle se battait encore pour la victoire – elle finira finalement neuvième au général et troisième du Challenge Mitjet. Cette catégorie est remportée par la #111 du team GTR33 emmenée par David Mouchet, Mathieu et Antoine Rigon. Philippe Lacoste, Olivier Coutant et Benoît Piraube complètent le podium grâce à leur deuxième place sur la #25 du TM Evolution.

Au classement Scratch, ce sont les Clio IV qui mènent la danse, la #63 en tête. Le reste du top 3 est composé des deux voitures du team Pro Race : la #77 de Guillaume Deneux et Yves Cazard, et la #7 de Julien Colette et Mané Vignjevic qui avait pourtant connu des difficultés avec une casse mécanique durant les qualifications.

En Peugeot, Enzo Carvalhido, Stéphane Duvernoy et Frédéric Rondeau réalisent une belle performance pour hisser la #37 en treizième place et remporter la catégorie. Florian Gigon, Yannick et Yann Dondel finissent quand à eux deuxièmes avec la #572. Ils sont suivis de la #68 qui complète le podium.

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Endurance Proto : Pilotes et mécaniques mis à rude épreuve

Si vous demandez aux organisateurs du TTE ce qu’ils sont le plus heureux de voir durant un meeting, ils vous répondront bien évidemment les sourires des concurrents le dimanche soir. Mais non loin derrière, il y a la satisfaction d’avoir réuni un beau plateau sur la grille de départ ! Et celle de l’épreuve d’Endurance Proto – couplée à la course longue de Free Proto – sur le circuit Paul Ricard était particulièrement magnifique : les passionnés ne savaient où donner de la tête au milieu de la quarantaine de Norma, Funyo, Radical, Nova, Ligier et Merlin.

Durant les essais qualificatifs, Cédric Houot et Nicolas Schatz avaient placé la Nova NP02 #72 en pole position, mais c’est Ivan Klymenko qui a particulièrement impressionné. Roulant habituellement en Formule Renault Cup, le pilote ukrainien novice en Proto a tout de suite su trouver la performance avec la #168 du Lamo Racing pour réaliser le meilleur temps des Norma. Il partait donc en première ligne aux côtés de la #72 avec son coéquipier Alain Bucher. Dans la catégorie Funyo, ce sont une fois de plus Antoine Barbaroux et Théo Désert, les jeunes pilotes de l’Académie HMC, qui sont allés chercher le meilleur chrono. Malheureusement, comme lors de la manche précédente, les très rapides Théo et Antoine n’ont pas pu concrétiser leur bonne qualification, puisqu’ils se sont vus abandonner suite à un accrochage dès le premier tour.

Le plus gros challenge pour les équipes était sans aucun doute la fiabilité de la mécanique pendant cette endurance de 3 heures. Les équipes ont pu profiter d’une météo idéale, mais le beau soleil du Sud a visiblement moins convenu aux véhicules : plusieurs écuries ont fait face à des problèmes techniques, mettant parfois fin de façon prématurée à leur course. C’est notamment le cas du DAFA Racing, qui a subi des problèmes de surchauffe tout au long du week-end.

À l’issue de la course, ce sont les polemen Houot et Schatz qui l’emportent pour ANS Motorsport. Ils sont accompagnés sur le podium par deux équipages Lamo : Alex Lafourcade et Franck Chappard – qui nous faisait le plaisir de revenir au TTE pendant sa saison en Le Mans Cup – suivis de Laurent Prunet et Grégory Choukroun.

En catégorie Funyo, un équipage a fait des frayeurs aux spectateurs qui suivaient la course. Alors que Xavier Cousin et Yohann Houllier menaient confortablement, nous avons pu voir la #206 HMC Racing ralentir et s’arrêter en pleine ligne droite du Mistral dans le dernier tour ! Heureusement, les deux coéquipiers ayant construit une avance d’un tour sur le reste des concurrents, ils ont tout de même pu conserver leur classement et remporter la course. Sur le podium, ils sont rejoints par deux autres équipages HMC : Franck Lefevre et Rémy Brouard, suivis de Sébastien Viale et Cédric Gardin.

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Trophée 1300 Mitjet : Le groupe de tête dans un mouchoir de poche

Le plateau de Mitjet continue de se développer et d’accueillir de nouveaux et de nouvelles pilotes. Nous avons notamment pu partager la joie et la bonne humeur d’un équipage inédit, composé d’Aurélie Maingre et Evy Longepe, qui participaient à leur toute première course dans la discipline.

Du côté des habitués, le leader du championnat Enzo Redcent semblait en retrait sur le tracé du Castellet durant les essais, mais le Sunset Racing a trouvé les bons réglages à temps pour décrocher la pole en session 2 des qualifications. En session 1, c’est Jules Lormois, décidément de plus en plus à l’aise, qui avait réalisé le meilleur chrono des 1300.

Le circuit, très différent de ceux des deux dernières épreuves à Lédenon et Charade, a permis à d’autres pilotes de briller. C’est notamment le cas de Cyril Moisson, au volant de son Evo, qui réalise un week-end presque parfait en s’offrant une pole position et 4 victoires en 4 courses.

Dans la catégorie 1300, ce sont Jules Lormois, Enzo Redcent et Antoine Delomez qui ont occupé la première place – Delomez s’imposant à deux reprises. Arthur Fournier réalise également une bonne performance en montant deux fois sur le podium, tandis que le champion en titre Simon Ponty se contente d’une apparition sur la deuxième marche.

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Formule Renault Cup : Klymenko fait retentir l’hymne ukrainien

Rouler en monoplace sur le circuit Paul Ricard, il faut bien avouer que ça fait rêver… Les pilotes de la Formule Renault Cup ont pu réaliser ce rêve ce weekend dans le format habituel de deux qualifications et deux courses. À cette occasion nous retrouvions nos pilotes habituels, mais également un local de l’étape en la personne de Maxence Benech.

Au moment des premiers essais qualificatifs, les jeunes rookies étaient une fois de plus aux avant-postes. C’est Ivan Klymenko qui devance Jonathan Correrella dans les derniers tours, Danny Buntschu et Théo Vaucher sur leurs talons. Les quatres pilotes Lamo se tiennent alors dans la même seconde. Ils sont suivis du dernier vainqueur en date, Corentin Guth, et d’Alexandra Hervé qui semble en bonne forme sur ce circuit.

En Course 1, Guth fait un très bon départ qui aurait pu lui permettre de se battre pour le podium, mais abandonne au bout de quatre tours après une sortie de piste. À l’inverse, Alexandra Hervé perd des places mais remonte pour retrouver sa position de départ. Devant elle, c’est Maxence Benech qui en a profité et termine à la cinquième place. Malgré des batailles acharnées, notamment entre Klymenko et Correrella, le top 4 est le même à l’arrivée qu’au départ. Le jeune pilote ukrainien a donc fait flotter le drapeau et retentir l’hymne de son pays lors d’une cérémonie de podium forte en émotions.

Lors de la qualification du dimanche, les 3 pilotes de tête sont une nouvelle fois séparés d’à peine plus d’une demi seconde. Klymenko appuie sa supériorité sur ce tracé, mais Buntschu surpasse cette fois-ci Correrella. Derrière eux, Alexandra Hervé confirme sa progression en réalisant sa meilleure qualifications à date : elle partira quatrième sur la grille, suivie de Maxence Benech et Théo Vaucher.

Pour finir, en Course 2, Ivan Klymenko conclut un week-end parfait en ne laissant pas la victoire lui échapper. Danny Buntschu, qui espérait également pouvoir se battre pour la première marche du podium, a finalement été plus occupé à défendre sur son coéquipier Jonathan Correrella. À l’issue de ce duel, c’est ce dernier qui prend l’avantage dans les derniers virages pour s’offrir la deuxième place devant le pilote suisse.

Du côté des gentlemen, c’est Serge Coperchini qui réalise le meilleur week-end avec une pole position et une victoire. Thierry Malhomme et Alain Bucher remportent également une qualification et une course respectivement.

Klymenko prend donc les devants du championnat en étant le premier pilote à remporter plusieurs courses cette saison. Nul doute que les autres concurrents seront impatients de tenter de le déloger de la tête du classement lors de la prochaine épreuve à Dijon.

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Free Racing Berline-GT : Journée remplie d’action

Les concurrents du Free Berline-GT ont déroulé une journée au programme bien chargé le samedi, avec une qualification et 3 courses. Mais cela n’a pas fait peur au pilotes qui ont assuré le spectacle quoi qu’il advienne !

La présence d’une Lamborghini Huracan emmenée par Alfredo Hernandez a rendu la tâche difficile aux autres concurrents, puisqu’elle a dominé les sessions auxquelles elle a pris part. Il faut toutefois rappeler que ce championnat est disputé par des pilotes à l’esprit plus combatif les uns que les autres, qui ne se laissent pas abattre si facilement. Il suffit de citer l’exemple d’Hervé Boujuau ou encore Julien Boitard : après les dégâts subis sur leurs voitures à Charade, rien n’était certain quant à leur participation à ce meeting. Mais grâce à leur persévérance et à l’esprit d’entraide qui règne dans le paddock, ils ont tous deux remis leurs autos en état en un temps record pour se tenir prêts dès l’ouverture de la piste le vendredi !

Le samedi, en qualification, c’est donc sans surprise Alfredo Hernandez qui réalise le meilleur temps pour BDR Compétition. En deuxième position, la Ligier JS2 R du team Pegasus tient sa place, notamment grâce au patron pilote Julien Schell. En troisième place au général et premiers des berlines, Thierry Chkondali et Marc Girard créent la surprise en s’imposant devant la famille Léal. Du côté des Clio 4, on peut noter une bataille incroyable entre Jacky Gautier et Hervé Cuynet, puisque ce dernier s’impose pour seulement 3 millièmes d’avance sur son adversaire ! En Clio 3, le retour d’Antoine Miramand a été salué par une très belle performance qui lui assure la première place de la catégorie et la vingt-et-unième place au général. Malheureusement, Etienne Milluy, qui faisait son retour également avec sa Golf, a dû abandonner dès le début du week-end suite à un problème de direction assistée.

Bien qu’Alfredo Hernandez ait mené la compétition confortablement avec deux premières places aux deux course disputées, c’est le jeune Thomas Léal qui a impressionné et marqué les esprits ce week-end avec de très belles performances et deux troisièmes places au Scratch sur la Golf #49. L’autre réussite notable est celle de Frédéric Renaudin, qui parvient à se hisser sur la plus haute marche du podium en Course 2, avec sa BMW M4.

La compétition entre les Clio est toujours aussi serrée, mais c’est la #22 du CPB Racing qui remporte les deux courses sprint entre les mains de Jean-Christophe Regner et Joffrey Piau. Pour la course longue en revanche, ce sont Romain Delage et Denis Andrès qui ont placé la #63 du Nomad Driving Event en haut du classement.

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Free Racing Proto : Coups d’éclat et photo finish

Les concurrents du Free Proto nous ont habitués à une compétition serrée, mais cette dernière épreuve a dépassé toutes les attentes à ce niveau ! Les résultats annonçaient la couleur dès les essais qualificatifs : un écart minime, inférieur au dixième de seconde, entre Alban Thomas et Jean-Marc Alaphilippe, et un Adrien Girard qui s’immisce dans l’habituel trio de tête Thomas-Alaphilippe-Lafourcade avec sa Radical SR3 #125 du team Acqua Rossa.

Cette tendance s’est confirmée l’après-midi en Course 1 avec une arrivée groupée d’Alaphilippe, Girard et Lafourcade – seuls quelques millièmes les séparaient au moment de passer la ligne, et les spectateurs auraient été incapables de désigner un vainqueur sans la contribution des chronométreurs. En Course 2, l’avance est plus confortable pour le vainqueur Ludovic Revol sur la #73 ANS Motorsport. Lafourcade et Girard complètent une nouvelle fois le podium, tandis qu’Alban Thomas termine aux pieds du podium lors des deux courses.

Le lendemain en course longue, les arrêts et stratégies rebattent les cartes. Adrien Girard, qui avait mené la Course 2 jusque dans le dernier tour, mais avait perdu la tête à cause d’un manque d’essence, rattrape ce revers avec une belle victoire. Il est suivi de Thibault Ceschi du Team Spirit, et Alex Lafourcade pour Lamo Racing.

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Prochaine étape : Dijon. Le Trophée Tourisme Endurance donne rendez-vous à tous les concurrents les 7, 8 et 9 Juillet.